Ca y est, le grand travail d'empaquetague, de sous-pesage, et de (slight) "rengeage" a finalement commencé dans la D506. Ces jours-ci je passe mon temps à faire mes adieux à tous ceux qui partent (à ceux qui restent aussi d'ailleurs) et à agiter des tonnes de mouchoirs blancs. Malgré tout j'ai encore du mal à réaliser qu'il ne reste plus qu'une petite poignée de grains dans le sablier kobéîen, et qu'un "nouveau saut" m'attend là, juste au bout du nez.
On va faire comme si ça n'existait pas, et continuer à traîner tranquillement ses savates usées au supermarché tous les jours et remplir son frigo de sparkling water en sifflotant la dernière mélodie de Nakashima Mika. Yeah, let's do that.
mercredi, septembre 14, 2005
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