jeudi, septembre 30, 2004

"Fainéantus aÏgus", ou l'art d'ignorer les évidences

Car il s'agit d'un art, je le maintiens. Ouvrons l'encyclopédie pour nous le prouver: "Le sujet présentant des signes extérieurs de fainéantus aÏgus agit en suivant la voie minimaliste de l'existence, pour se concentrer sur les effets du non-déplacement de l'air sur sa vision post-traumatique de l'écoulement du temps (cf. la théorie du choc occulté)."

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Ok, il serait temps que je me presse un peu pour mon départ, c'est vrai. Seulement pour le moment, j'avoue que j'en suis encore à faire tout sauf à m'y mettre vraiment. S'il s'agit de tester tous les nouveaux logiciels que j'installe sur Osaka (c'est mon Mac, il va falloir vous y faire, je l'appelle toujours par son 'petit nom'), ou de vidéoconférencer par internet (toute une installation: le téléphone dans une main, l'autre qui fait coucou à la caméra, et la troisième -?- qui tape sur le clavier), je suis partante, mais l'idée de devoir faire sa valise me soporifise l'arrière train, qui joue à s'attacher à tout ce qui ressemble de près ou de loin à une chaise -avec une préférence apparente pour le rembourrage coussin-. Allez, je ne pars à l'autre bout du monde QUE dans quatre jours après tout... C'est pas comme si j'étais vraiment à la bourre... (rire mécanique)

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