(Il faut l'entendre pour le croire.)
On sait dès lors qu'il ne sera plus nécessaire de nourrir de tendres mais naïfs espoirs: la température ne repassera pas sous la barre des 30 degrés et le fuurin (la clochette censée apporter un sentiment de faîcheur en tintant sous la brise) restera muet et immobile pour un bon moment.

"Tsuki kane mo hibiku yô nari, semi no koe." ("A tolling bell resounding is the cicadas' song"), Bashô, 1689.
2 commentaires:
♪♪ semi no koe wo kiku tabi ni ... ♪♪
à chacun son karaoké, hein !
Tiens, j'avais pensé à la même chose!
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